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Ecrit par Jane Goodall.
Publié en 1988.
Titre Original : My Live With The Chimpanzees.
Traduction de Florence Seyvos.
190 pages

Commentaires :
J’avais emprunté ce livre car j’avais pensé pouvoir l’intégrer à mon dossier de littérature de jeunesse dans une mise en réseau avec L’œil du loup, sur le thème de l’Afrique. J’ai finalement abandonné cette idée. Car Ma vie avec les chimpanzés n’est pas un roman mais un récit à mi chemin entre l’autobiographie et le documentaire. Ecrit pour les enfants, à la première personne, il est agréable et facile à lire. On y découvre les chimpanzés, créatures fascinantes par leur intelligence quasi humaine.
Je me suis mise à rêver après avoir terminé la lecture de ce livre ; est-il possible que le processus qui a fait passer l’homme de l’état animal à l’état humain se reproduisent avec les chimpanzés ? Ce serait à la fois fantastique et effroyable. Une espèce intelligente rivale ! Nous ne lui laisserions aucune chance. Il vaut sans doute mieux, pour leur propre sécurité, que les animaux n’évoluent pas trop.

(more…)

Et je jure sur l’honneur que je n’y suis pour rien. ::p

On peut dire qu’elle a l’art du suspens. On s’était déjà torturé l’esprit à essayer de deviner qui allait mourir dans le tome 6 ; voilà qu’elle remet ça. Elle est vraiment sadique celle-là  !

(Non, non, McGonagall ne va pas mourir, et le premier qui me contredit est en danger de mort :fuck: )

Vous vous souvenez de ça ?

J’ai pas mieux.

PS : Pourquoi la sensation de faim disparaît-elle dans les situations de stress ?
Je n’ai mangé qu’un quart d’assiette de pâtes hier midi, trois ou quatre fruits hier soir, je n’ai pas déjeuné ce matin et la pespective du repas de midi me noue déjà l’estomac. Il va falloir que je me force si je ne veux pas mourir cet après-midi (encore que cette idée ne soit pas totalement dépourvue d’intérêt).

Ouvrir ses fenêtres en grand et tomber sur ça :

Il a créé la surprise en 2002 par sa seule présence au second tour des présidentielles.
Il pourrait récidiver en 2007 en arrivant en tête au premier tour.
Attention, il est de retour.

Je viens de découvrir que je pouvais naviguer sur la toile avec mon téléphone portable. Je trouve ça incroyable !

NB : Ca fait deux ans que je possède ce téléphone…

Loin de ces abrutis de supporters dont le plaisir est bien souvent plus de cracher sur l’adversaire que de profiter du spectacle offert, je ne me contente pas de soutenir l’équipe de France. Afin d’optimiser mes chances de victoire, et renforcée par les performances plus que moyennes de nos Bleus, je suis avec une grande attention un certain nombre d’équipes dont la victoire me réjouirait particulièrement.

Avant tout, je suis une inconditionnelle des pays du sud de l’Europe ; l’Espagne, le Portugal et l’Italie sont mes favoris. Pourquoi, me direz-vous ? Sans aucune raison, répondrais-je. Sinon le fait que ce sont des pays que j’aime et dans lesquels je me verrais bien vivre. Dommage qu’il y fasse si chaud !

Sinon, je sens bien l’Allemagne pour cette année. L’équipe m’a paru très solide lors de ses deux premiers matchs et on sait l’effet bienfaisant que peut avoir le fait de jouer devant son public. Et puis, les Allemands sont nos voisins, nos amis, nos frères même. Je me sens proche d’eux (proximité géographique peut-être). S’ils gagnent, je partagerai leur bonheur.

Enfin, après avoir vu le match de cet après-midi entre l’Argentine et la Serbie-Monténégro, j’ai eu un coup de cÅ“ur. L’Argentine a été vraiment magistrale. Je pense qu’elle va aller très loin dans cette compétition. En tout cas, je l’espère car le spectacle était vraiment au rendez-vous. Et quitte à ce que ce soit un pays d’Amérique du sud qui gagne, j’aime autant que ce soit l’Argentine plutôt que - encore - le Brésil. À noter qu’une finale Argentine/Brésil serait sans doute somptueuse. De plus, il se pourrait qu’elle rencontre l’Allemagne dès les quarts. Je m’en pourlèche les babines d’avance…

Evidemment, il existe une probabilité certaine pour qu’aucun des pays suscités ne gagnent. Je devrai alors supporter la somme des déceptions liées à l’élimination de chacune mes équipes préférées. Qu’à cela ne tienne, l’excitation est trop forte. Que les meilleurs gagnent !

Lorsque l’identité d’un être humain est définie par ce dont il vient, ses ascendances, ses appartenances (communautaires, religieuses, sociales, familiales), qu’il est sommé de s’y conformer et modelé éducativement pour le faire, il n’y a pas de liberté individuelle de plein droit. Ainsi par exemple, le libre choix religieux - hérésie signifie étymologiquement “choix”, et c’est bien le choix que les religions condamnent - n’a jamais été possible que par des lois publiques qui prennent le risque de soutenir la liberté de l’individu contre les pressions des forces religieuses.

Richard Assuied, Anne-Marie Ragot, Epreuve orale d’entretien, Hatier concours, collection “Concours de Professeur des Ecoles”, Paris, 2005, page 23.

Partie I - L’école, ses finalités
Chapitre 1 - Instruction, éducation et formation du citoyen
Question 2 - Pourquoi “l’égalité d’instruction” est-elle la condition de la liberté individuelle ?
2.1 - Qu’est-ce que la “liberté individuelle” ?
2.1.1 - La liberté individuelle, c’est d’abord la liberté de plein droit d’être un individu

Je n’ai jamais beaucoup aimé les commentateurs de Roland Garros. Mais cette année, je les trouve pires que tout. Ils sont incapables de commenter un match sans prendre parti et je trouve ça absolument inadmissible. Bien sûr, le comble est atteint lorsque des français sont en jeu. Mais pas uniquement.

Il y a en ce moment le demi-finale dames Kuznetsova (russe) - Vaidisova (tchèque) respectivement têtes de série 8 et 16. Et bien, il n’en ont que pour Vaidisova. Vaidisova par-ci, Vaidisova par là. Elle fait tout le jeu. Elle gagne un point : Bravo ! C’est magnifique ! Qu’est-ce qu’elle joue bien ! Elle perd un point : C’est le stress. Et puis, elle est jeune. Et puis, c’est sa première demi-finale en grand chelem. On dirait qu’elle est toute seule sur le court. Dieu sait que je suis pas pro-russe en matière de tennis. Mais cette manière qu’ils ont d’ignorer totalement Kuznetsova me tape sur le système. A l’heure qu’il est, il y a un set partout, preuve que ce match est très serré (7/5 - 6/7). Mais non. Il n’y a qu’elle, un point c’est tout. Ils la veulent en finale.

Ah oui ! Au fait, Vaidisova est une blonde aux cheveux longs mesurant 1m83 pour 63kg. Kuznetsova est une blonde au cheveux mi-longs avec un bandeau mesurant 1m75 pour 73kg. Comme par hasard !
Vous me direz que je suis mauvaise langue et que je vois le mal partout. Pourtant, lorsque Lionel Chamouleau évoque la jolie Tchèque qu’il qualifie de gracieuse, il parle bien de Vaidisova. Jamais il n’a employé un tel vocabulaire pour parler de son adversaire. D’ailleurs, je trouve ça insultant pour Vaidisova ; si elle accède en finale, ces gros balourds pourront se réjouir, ils auront de quoi se rincer l’Å“il.

Beurk.

PS : Alors qu’il y a 4/1 pour la russe, j’entend Chamouleau dire avec regrets Et dire que Vaidisova était à deux points du match dans le deuxième set !.
C’est ça, l’objectivité des commentateurs…

PS2: C’est marrant, maintenant que le match est fini et que Kuznetsova a gagné, ils finissent par dire qu’elle a bien joué.
Quelle bande de co**ards !

Histoire en plusieurs épisodes :

• Nous allons en course hier soir.
• Omega ferme la porte d’entrée avec mes clés au lieu des siennes.
• J’en profite pour les prendre et aller voir le courrier.
• Je les dépose ensuite dans la voiture d’Omega.

… Courses, repas, match, lecture …

• Je me réveil ce matin; chic, il fait beau!
• Je me prépare à aller à mon dernier cours d’anglais de l’année à 10h.
• Je me rends compte que les clés ne sont pas sur la porte.
• Je me rappelle hier soir (j’ai dû laisser les clés dans la voiture).
• Je commence à paniquer.
• Heureusement, il y a le trousseau de secours.
• Je ferme la porte à clé.
• Je m’inquiète car je ne suis pas sûre d’avoir, sur ce trousseau, la clé de la cave où est garé le vélo.
• J’essaie une des trois clés du trousseau.
• Elle entre.
• Elle tourne.
• Elle ouvre la porte.
• Je pousse une soupir de soulagement.
• J’entre dans la cave.
• Je me retrouve nez à nez avec l’antivol du vélo qui nous sert de cadenas.
• J’ai deux secondes d’arrêt intégral (monvement, souffle, cÅ“ur).
• Je réalise que la clé de l’antivol est dans la voiture d’Omega avec le reste de mes clés.

… Un ange passe …

• J’appelle Omega afin d’être certaine que mes clés sont bien en sa possession.
• Il confirme et accepte même de porter l’entière responsabilité de l’évênement.
• Je rentre à la maison mi-agacée, mi-amusée par l’étrangeté de la situation.
• Je m’interroge : dois-je appeler l’iufm pour prévenir l’administration de mon absence? Quel motif donner?
• Même si le ridicule ne tue pas, je préfère parier sur le fait que le prof ne fera pas signer de feuille d’émargement.
• Je suis renforcée dans mon sentiment d’être la fille la plus poisseuse du monde.

Fin de l’histoire.